Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom

Quand on est un passionné d’un journaliste à la houppette qui apparaît dans des illustrés très célèbres, il y a une part de risques…

Bob Garcia en a fait les frais. Auteur d’ouvrages sur ce journaliste à la houppette et sur son créateur, il est en effet condamné par la société qui porte le nom d’un château inspiré par celui de Cheverny (il faudrait d’ailleurs attaquer son architecte en justice), possession d’un marin barbu alcoolique, à une amende de 48 619,76 €. Bien évidemment, le philanthropique dirigeant de cette société menace de saisir la maison de cet auteur si l’amende n’est pas réglée, puisque ce dernier était édité par une petite association proche du dépôt de bilan (alors qu’il suffit d’être l’ayant-droit d’un auteur disparu pour ne pas avoir de problème d’argent, quelle stupidité !).
Bien évidemment, nous ne citerons aucun autre nom dans cette information, ni ne diffuserons aucune image car le sympathique dirigeant de cette entreprise pourrait nous attaquer en justice, nous interdire de publication et nous demander des dommages et intérêts. Nous pouvons cependant apporter tout notre soutien à Bob Garcia que nous avons rencontré lors d’une conférence et pour le plaisir de faire la nique à cet altruiste homme d’affaires, nous terminerons par une historiette ad hoc :
Qu’il y ait un loup ou mille loups, près du pont ou du champ de tournesols, le mouton n’est pas toujours dévoré, surtout si son berger, un rasta populo le surveille. Générique de fin : tin tin tin tiiiiiinn.
Histoire ridicule pour bien souligner le ridicule de la chose. Alors Monsieur Roswell (j’écorche votre nom, je ne voudrais pas un procès pour avoir cité quelque chose déposé par vos soins), rappelez vos avocats et rendez pour une fois hommage à ceux qui continuent à faire vivre le mythe de Tin… oops, j’ai failli le dire… Pas comme vous, donc !

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